
- Date de parution
- Le: 25 avril 2016
- Version papier
- Prix: 37€
- Nombre de pages: 450 pages
- Co-édition: Presses universitaires de Rennes
- Détails: Relié, ill. N&B, cahier couleur 32 p.
- ISBN: 978-2-86906-411-9
- EAN: 9782869064119
- ISSN: 2107-2566
- Catégories
- étiquettes: Arts, Beaux Livres, Histoire de l'art, Histoire Moderne, Peinture, Politique,
- Fiche ONIX:
Henri IV
- Colette Nativel, |
- 37€ |
- Renaissance |
- 450 pages
Après la longue période des troubles des guerres de religion, le renouveau des arts se manifesta de façon particulièrement éclatante sous le règne d’Henri IV, dans tous les domaines : peinture, sculpture, architecture, mais aussi l’art des jardins, les arts de cour, notamment les ballets et les entrées. Ce fut aussi le cas de l’art du livre, encore trop peu étudié aujourd’hui.
Ce livre expose l’ampleur de ce renouveau et en montre les multiples aspects.
Afin de cerner les transformations et les nouvelles configurations artistiques de cette période, les pratiques artistiques sont replacées dans leur contexte historique, politique et culturel. L’ouvrage pose les enjeux épistémologiques entre pouvoir (élaboration et diffusion par l’image de la figure du « bon roi », tolérant et unificateur du royaume) et art (art de cour, art sacré, dans une époque de troubles religieux…). Enfin, dans une volonté d’inscrire la production artistique française dans un cadre plus large, ce livre explore les liens qui unissent la France d’Henri IV et de Marie de Médicis aux grands centres artistiques européens (Florence, Nancy, Anvers).
Ils en parlent
(...) ce volume collectif contribue à renouveler l’historiographie sur
la fin de la Renaissance française.
Yann Rodier« Comptes rendus », Dix-septième siècle 2017/1 (n° 274)
Des historiens, des historiens de l’art et de l’architecture, des conservateurs, des littéraires ont ainsi présenté un ensemble de réflexions souvent inédites qui, pour la plupart, vont au-delà de la description du monde artistique dans lequel gravita Henri IV, mais tentent bien, comme l’indique le titre, de cerner les rapports entre une monarchie en voie de reconstruction, voire de restauration, et les expressions culturelles les plus fastueuses de
la fin du XVIe au début du XVIIe siècle.
Delphine Carrangeot, Annales histoire et sciences sociales, n°72-3