Bretonneau. Correspondance d’un médecin – T. 2
Médecin, inventeur, dessinateur, horticulteur, le docteur Bretonneau (1778-1862) est certes devenu célèbre en identifiant la diphtérie et la fièvre typhoïde, et en défendant avec ferveur les doctrines de contagion et de spécificité, mais sa correspondance dépasse largement le cadre strict de l’histoire de la médecine. Elle touche en effet à l’histoire dans tous ses aspects et révèle un arrière-plan politique, social, et culturel, tout en laissant, grâce à la personnalité originale de Pierre-Fidèle Bretonneau, une large place à des sujets techniques ou botaniques. Elle témoigne en outre du tournant médical du XIXe siècle dont Bretonneau a été l’un des acteurs et elle permet de saisir le cheminement de la pensée d’un médecin-chercheur de cette époque. Elle est enfin une clé majeure pour comprendre comment un médecin de province, ayant peu écrit et très peu publié, a pu se construire une telle renommée.
Ce second tome (1820-1840) constitue la partie la plus médicale de la correspondance. Au cours de ces années naît et grandit l’école de Tours, formée par de jeunes étudiants que Bretonneau envoie se perfectionner et faire carrière à Paris. Un dialogue régulier se tisse entre le maître et ses disciples qui, Alfred Velpeau et Armand Trousseau en tête, n’auront de cesse de soutenir les idées médicales de Bretonneau. Le Traité de la Diphthérite est notamment né de cette période de constantes observations, interrogations et réflexions.
Ils en parlent
Bretonneau. Correspondance d’un médecin – t. 1 ICI
Bretonneau. Correspondance d’un médecin – t. 3 ICI
Prix d’Histoire de la Médecine 2016
Sommaire
Introduction
La correspondance (1820-1840)
Annexes
A. Correspondance complémentaire
B. Glossaire
C. Illustrations de la correspondance
D. Notices biographiques des principales personnes citées
Index
25,00 €
En stock
Bretonneau. Correspondance d’un médecin – T. 2
Médecin, inventeur, dessinateur, horticulteur, le docteur Bretonneau (1778-1862) est certes devenu célèbre en identifiant la diphtérie et la fièvre typhoïde, et en défendant avec ferveur les doctrines de contagion et de spécificité, mais sa correspondance dépasse largement le cadre strict de l’histoire de la médecine. Elle touche en effet à l’histoire dans tous ses aspects et révèle un arrière-plan politique, social, et culturel, tout en laissant, grâce à la personnalité originale de Pierre-Fidèle Bretonneau, une large place à des sujets techniques ou botaniques. Elle témoigne en outre du tournant médical du XIXe siècle dont Bretonneau a été l’un des acteurs et elle permet de saisir le cheminement de la pensée d’un médecin-chercheur de cette époque. Elle est enfin une clé majeure pour comprendre comment un médecin de province, ayant peu écrit et très peu publié, a pu se construire une telle renommée.
Ce second tome (1820-1840) constitue la partie la plus médicale de la correspondance. Au cours de ces années naît et grandit l’école de Tours, formée par de jeunes étudiants que Bretonneau envoie se perfectionner et faire carrière à Paris. Un dialogue régulier se tisse entre le maître et ses disciples qui, Alfred Velpeau et Armand Trousseau en tête, n’auront de cesse de soutenir les idées médicales de Bretonneau. Le Traité de la Diphthérite est notamment né de cette période de constantes observations, interrogations et réflexions.
Ils en parlent
Bretonneau. Correspondance d’un médecin – t. 1 ICI
Bretonneau. Correspondance d’un médecin – t. 3 ICI
Prix d’Histoire de la Médecine 2016
Sommaire
Introduction
La correspondance (1820-1840)
Annexes
A. Correspondance complémentaire
B. Glossaire
C. Illustrations de la correspondance
D. Notices biographiques des principales personnes citées
Index
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